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Les Rêves de Zig Zag

8 janvier 2018

Un bon café !!!

cafetière

Cette nuit, j’étais en wix boquette…

On devait avoir terminé le repas car Anne s’évertuait à faire du café. Et le mot est faible. En effet, même si le contexte spatio-temporel parait dé-corrélé de toute réalité (ce qui est le propre du rêve), elle avait jeté plusieurs cafetière dans l’évier en un laps de temps vraiment très court. Il faut dire qu’elle s’y prenait assez bizarrement. Elle faisait couler son café dans une première cafetière avant de le transvaser dans une autre. Et c’est cette dernière étape qui, manifestement, merdait. Du coup, Anne attrapait la verseuse d’un geste rageur, tout en râlant, pour la vider dans l’évier tout proche, le tout sous les conseils bienveillants de Bab’s qui voyait bien que la pression montait et qui souhaitait éviter qu’Anne n’explose.

C’est à ce moment que Piou nous a raconté que des amis à eux leur avaient offert le café, en leur expliquant que, comme ils n’avaient plus de café, ils le faisaient à partir de cartouches d’imprimante usagées… Je me souviens m’être mentalement représenté la poudre noire des toners, et je n’ai pas été surpris lorsqu’elle a précisé qu’il s’agissait de cartouches HP étant donné qu’ils fabriquent leurs encres à partir de matériaux comestibles du fait des nouvelles normes. Piou a cependant trouvé que ça laissait un gout de miel très fortement ancré en bouche, pour toute la journée. Et Bab’s a ajouté avec un sourire : « Et le lendemain, tu chies des faxs ? » Curieusement, personne n’a été surpris ou choqué de voir Bab’s utiliser ce vocabulaire inhabituel pour elle, mais Manik’s a réagi par un éclat de rire tellement sonore et communicatif que je me suis réveillé...

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23 mai 2016

Ceci est un essai de publication de vidéo Essai

Ceci est un essai de publication de vidéo

Essai

1 juin 2014

Un clafoutis aux cerises ... numériques...

Cela fait quelques temps que je fais à nouveau des rêves dignes de figurer ici. Mais je n'ai jusqu'à maintenant pas pris le temps de les rédiger. Celui-là m'a accompagné une partie de la nuit dernière, alors je vous le livre.

La nounou d'Anaïs nous a donné, vendredi dernier, plus de 2,5 kg de cerises, noires, très mûres, excellentes. N'étant pas en capacité de toutes les manger, on en a congelé. On en a dénoyauté une partie hier avant de les congeler.

Du coup, cette nuit, je me suis retrouvé à dénoyauter des cerises, mais avec un appareil qui, s'il avait la même apparence que celui que j'ai utilisé hier, avait la particularité d'affecter à chaque cerise dénoyautée un lien hypertexte. Ne me demandez pas ce que ça faisait physiquement, je n'en ai pas la moindre idée. Les cerises, en tout cas, n'avaient pas l'air différentes de cerises analogiques de base. Mais en revanche, ça me posait un réel souci. Il fallait que je trouve le moyen de retirer ce lien hypertexte sans avoir à le faire avec chaque cerise (imaginez le temps que ça aurait pris !!!), car mon four n'était pas assez puissant pour cuire un clafoutis si les cerises étaient affublées de ce lien...

Je ne suis pas sûr d'avoir trouvé, mais je me suis réveillé un peu perturbé et il m'a fallu quelques minutes pour arrêter de chercher comment faire.

Toujours est-il que le clafoutis réel n'avait même pas un arrière goût...

12 novembre 2011

Elections en chocolat

Au cours des reportages sur les primaires du Parti Socialiste, on a beaucoup vu d’images de votes dans des gymnases.

Je me suis, moi aussi, retrouvé cette nuit-là dans un gymnase sombre, au beau milieu d’une file interminable. Tous ces gens attendaient, comme moi, pour voter. Au bout de la file, dans un coin très mal éclairé se tenaient deux isoloirs de fortune, bricolés de manière artisanale avec des morceaux de cornière et des panneaux de tissu à peine assez grands pour remplir leur fonction et isoler les électeurs.

isoloir-modulable

Mon tour étant arrivé, je suis entré dans un des isoloirs et ai constaté qu’il n’y avait ni bulletin ni enveloppe. Je suis donc ressorti et ai traversé le gymnase pour atteindre, dans l’autre coin pas mieux éclairé, une table sur laquelle il y avait des paquets de bulletins. J’ai dû couper le lien qui maintenait le paquet de bulletins pour pouvoir en prendre un, mais ils se sont alors éparpillés sur la table et j’ai découvert qu’il y en avait de toutes les tailles et que les noms étaient écrits à la main !! J’en ai pris un, dont le format était plutôt celui d’une bandelette de papier que d’un bulletin de vote. Il me semble avoir vu le nom de mon cousin, et c’est donc sans doute pour lui que j’ai voté. Enfin, que j’ai tenté de voter. Car de retour à l’isoloir, je me suis saisi de mon bulletin, d’un morceau de pain que j’ai ouvert avant d’y déposer le bulletin, et, avant de refermer le morceau de pain j’ai placé sur le bulletin une crotte en chocolat. Quelqu’un m’avait tendu une enveloppe usagée, toute froissée et gribouillée, mais évidemment, elle était bien trop petite pour y glisser mon sandwich électoral. Qu’à cela ne tienne, j’ai ré-ouvert le sandwich, mangé le chocolat qui avait déjà bien fondu et avait laissé échapper un peu de liqueur sur le bulletin, et n’ai laissé qu’un peu de mie autour du bulletin avant de le glisser à nouveau dans son enveloppe.

J’ai dû avoir un éclair de lucidité juste à ce moment-là car je me suis réveillé juste avant de sortir de l’isoloir…

11 novembre 2011

Conseiller Général

Cela fait plusieurs mois que j’ai fait ce rêve, mais je n’ai jamais pris le temps de le mettre noir sur blanc. C’est maintenant chose faite.

Le maire de mon village natal était également conseiller général du canton de longue date. Il n’a pas souhaité renouveler sa candidature aux dernières élections cantonales. C’est sans doute ce qui est à l’origine de ce rêve.

Je reçois donc un coup de téléphone du maire du village. Il m’annonce qu’il ne va pas se représenter aux prochaines élections, et qu’il souhaite que je me présente à sa place. Il a sans doute été très convaincant car, bien que je ne m’en souvienne pas, j’ai accepté. Ce qui me fait dire ça, ce sont les gens que je croisais et qui me félicitaient pour mon élection au poste de maire !!! Je n’avais pourtant fait aucune campagne ni n’avais rencontré qui que ce soit, et pourtant j’étais maire. Mais cela n’avait pas l’air de me surprendre, comme si c’était normal. Je suis donc allé à la mairie pour me renseigner, et c’est là que j’ai appris que j’avais également été élu conseiller général. Il me fallait donc aller à Macon pour la session d’installation.

Comme tout va super vite dans les rêves, je me suis retrouvé à Macon (enfin, dans une rue banale, mais qui, dans mon rêve, était à Macon), à pied et entouré d’autres personnes qui étaient également des élus. Il y avait comme un cérémonial et tous les conseillers généraux se rendaient donc en procession au conseil général. Etant nouveau, je ne connaissais personne et j’écoutais les discussions autour de moi. Et j’ai été choqué par ce vieux monsieur qui était là avec sa femme et son chien, car j’avais compris qu’il obtenait des frais de déplacement pour se rendre à Macon, mais qu’il en obtenait également pour sa femme et aussi pour son chien, et il semblait trouver cela le plus normal du monde.

On est alors arrivé dans une grande pièce assez cossue qui pouvait certainement être une salle de l’hôtel départemental. Quelqu’un a annoncé notre arrivée en présentant les nouveaux élus (je n’étais pas le seul), mais cela n’a pas eu l’air de déranger les gens qui étaient installés ici et à qui on servait un repas. Dans la pièce contigüe où nous étions censés déposer nos vestes, Anne Lauvergeon (qui était encore à cette époque présidente d’Areva) donnait une conférence.

J’ai dû être surpris par sa présence car c’est à ce moment là que je me suis réveillé.

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11 décembre 2010

Welcome Back

Bienvenue à tous.

Et oui, après l'annonce de la fermeture de la plateforme des blogs Orange, j'ai bien cherché à appliquer la démarche visant à récupérer le contenu du blog avant la date limite, mais sans succès.

Heureusement, j'avais sauvegardé une partie des récits de mes rêves, mais surtout les derniers. Certains de ceux que j'ai perdus faisaient pourtant partie de mes favoris. Cela m'a donc un peu découragé de renouveler l'expérience de si tôt, et c'est donc seulement maintenant que je m'attèle à la reconstruction de ce blog.

Je publierai dans un premier temps mes archives, mais suivront sans aucun doute des nouveautés car mes rêves continuent à m'emporter dans des contrées plus qu'improbables.

C'est sans doute parce que la période actuelle est fertile que l'envie de partager ces récits m'est revenue jusqu'à me décider à passer à l'acte.

Bonne visite, et n'hésitez pas à laisser vos commentaires.

tilt

16 février 2008

Acteurs de BD

Celui-là, il est "hors catégorie" !!

Je suis dans un espace très clair, même carrément blanc. Comme un jour nuageux et clair, mais tout est de cette même couleur uniforme. J'entends des voix autour de moi, familières, on est visiblement en train de faire une ballade. Il y a au moins P'tit Dej, Kojak, Piou et Manik's (une partie de mes copains de promo), et sûrement tous les autres de la bande, mais pour être franc, je ne me souviens plus très bien. D'ailleurs, je ne me souviens pas avoir vu leurs visages, c'est le souvenir de leurs rires qui me confirme leur présence. Bref, on est en train de marcher tranquillement quand on découvre un truc (ben en fait je ne sais pas quel nom lui attribuer) qui ressemblait à une structure de fenêtre, bleu clair presque lavande, mais avec des traverses et des montants un peu partout. BD

On était visiblement très curieux et on s'est approché. C'est la que l'un de nous a découvert une poignée, qui permettait d'ouvrir un battant au niveau supérieur. On l'a ouvert, et on est monté. C'est très curieux, car on se trouvait devant une structure relativement plane, et pourtant, au lieu d'en faire le tour pour voir, on est monté dedans. Ou plutôt dessus. Enfin, sur la tranche de la cellule dont on avait ouvert la porte.

Et là, magique. Je voyais la scène de l'extérieur, mais en même temps j'étais acteur. Je me souviens de silhouettes petites, dessinées, perchées sur ce cadre bleuté. Le Capitaine Haddock nous avait rejoint (si si…). Mais quand on a commencé à parler, des bulles sont apparues au dessus de nos têtes. Pas des bulles de savon hein, mais des bulles de BD. En fait, on avait trouvé une BD vierge, et on était rentré dedans… Ca a commencé à être le délire. On s'est tous mis à parler et à rire tant la situation était cocasse. C'est ainsi que j'ai identifié ceux qui étaient avec moi. On était tellement loquace que les bulles ont commencé à envahir l'espace, tant et si bien que l'un d'entre nous s'est retrouvé trop près du bord et est tombé du cadre. On a alors tous éclaté d'un rire énorme, si énorme que je me souviens parfaitement que c'est le rire bruyant de P'tit Dej" qui m'a réveillé…. Ou alors le mien, car je riais encore quand j'ai pris conscience que je ne dormais plus.

19 janvier 2008

La panne de radiateur

Je suis assis dans le coin d'une pièce assez bizarre, qui ressemble à une salle de bain. Dans mon rêve, c'est ma salle de bain, bien qu'elle ne ressemble pas du tout à celle que j'ai "pour de vrai". Il y a notamment deux portes, une sur ma gauche, et l'autre presque à côté, mais pas au même niveau. Celle de gauche, plus loin, comme au bout d'un mini couloir, est la porte d'entrée de la salle de bain. L'autre est fermée, et je ne sais pas ce qu'il peut y avoir derrière.

Soudain, de la fumée s'échappe d'un radiateur, assez petit, blanc, et fixé à mi-hauteur sur le mur qui est sur ma gauche. Cette fumée est assez dense, blanche, mais complètement inodore. Cependant, je suis comme figé. Je me demande si le siège sur lequel je me trouve ne serait pas en fait la cuvette des toilettes. Et là, un autre radiateur, sur ma droite cette fois, se met à fumer également. Comme par magie, je me retrouve au milieu de la pièce, en train de regarder ces deux radiateurs, et je m'aperçois que le responsable Qualité de l'entreprise où je travaille (un homme d'environ 55 ans, toujours très élégant) est occupé à tenter de les réparer. Ca n'est manifestement pas simple, car il semble de mauvaise humeur.

Et la situation ne s'arrange pas quand la seconde porte s'ouvre et qu'un groupe de personnes (dont je ne me souviens pas du tout) en sort pour quitter la salle de bain par l'autre porte. La dernière personne à sortir n'ayant pas refermé la porte de la salle de bain, cela provoque la colère de mon ouvrier, qui leur envoie une bordée d'injures. Il faut dire que le froid entre à une vitesse prodigieuse dans la pièce.

C'est alors que je me suis retrouvé dans le mini couloir, en compagnie de Christophe, un collègue, qui arrivait avec un tournevis. Tout en resserrant un fil dans une boîte de dérivation (au milieu de la salle de bain…), Christophe me racontait des choses que je n'aurais sans doute pas souhaité que le responsable Qualité entende, car je me souviens de l'espèce d'angoisse qui m'a envahie en pensant qu'il était tout près, juste avant de me réveiller…

8 décembre 2007

Survivant

Cette nuit là, j'ai échappé à un tueur fou!!! Si, si, je vous raconte.

J'étais dans une salle de réunion, mais très grande et nous étions très nombreux. De mémoire, personne que je ne connaisse n'était présent. Pourtant, les lieux pouvaient rappeler ceux de mon travail. On avait du nous expliquer qu'un tueur dangereux rodait dans les parages, et on était à la fin de la réunion. Nous sortions de cette salle, mais l'ambiance n'était pas différente de celle qui aurait été de mise si la direction nous avait simplement présenté ses voeux. J'étais visiblement le seul à me préoccuper du risque qui nous avait été décrit.

C'est peut-être la raison pour laquelle je suis sorti de manière prudente, parmi la foule (Ah oui, on était très nombreux…), tout en regardant autour de moi. Et là, au lieu de sortir dans un couloir ou dans un hall, nous sortions directement dans une cour de ferme qui ressemblait à celle de ma grand-mère, par une grande porte en bois comme on en trouve dans les granges. Cela ne semblait troubler personne. C'est alors que j'ai vu (ou deviné car je ne me souviens plus de la vision) qu'un homme tenant un fusil se trouvait sur le pas de la porte de la maison, face à nous et sur notre gauche. Mon premier réflexe a été de ma cacher derrière un homme plus grand que moi et très bien habillé. Mais j'ai eu des remords, comme si j'avais conscience d'exposer cette personne en étant une cible privilégiée du tueur. J'ai alors couru en direction du coin du bâtiment en pierre qui se trouvait devant nous.

J'ai atteint mon but, mais au passage, j'ai pris une balle en bas du dos. Oh, sans doute pas grand-chose car ni cela ne me faisait souffrir, ni cela ne saignait vraiment. Mais par contre, ça me faisait boiter. J'ai alors avancé devant moi, pour contourner le bâtiment, car bien que je sois hors de vue du tireur, il pouvait lui aussi bouger et chercher à me suivre. En avançant sur une petite allée charmante en gravier rose, je me suis retrouvé derrière le bâtiment, dans un espace très joli qui ressemblait assez à un jardin public. Il y avait quelques arbres, et j'ai décidé de me cacher derrière. Mais quand je faisais le tour d'un des troncs, à chaque fois je découvrais que celui-ci formait une fourche et que, par conséquent, je n'étais plus caché.

Je ne me souviens pas avoir entendu le moindre coup de fusil, ni le moindre cri, mais je savais pourtant que tous les autres étaient morts et que j'étais en danger. J'ai alors regardé autour de moi et j'ai vu qu'un petit muret très bas bordait ce terrain. Je me suis approché et ai découvert que l'endroit où je me trouvais surplombait la parcelle voisine. J'ai alors franchi le muret et me suis plaqué contre lui, avant de regarder par un trou entre deux pierres ce qui se passait. La nuit était tombée. D'un coup, sans prévenir… J'ai alors aperçu deux hommes, habillés en survêtement aux couleurs flashi, l'un portant un fusil, et l'autre une espèce de lampe torche qui faisait une lumière très blanche. De toute évidence, ils me cherchaient. Je me suis alors blotti sous le mur (ben si, il ne touchait pas terre…) et heureusement car ils se sont approchés et ont balayé les alentours avec le faisceau lumineux. Puis ils ont continué leur chemin, me laissant soulagé qu'ils ne m'aient pas trouvé.

C'est à ce moment là que je me suis réveillé…

20 mai 2007

La femme à barbe

J'arrivais au travail en compagnie de Véronique, une collègue. Nous avions visiblement quelque chose à voir ensemble. Je ne sais pas quoi, peut-être devions nous simplement déjeuner ensemble.

Nous nous sommes retrouvés dans un très grand hall très clair et quasiment sans mobilier. Il y avait là quelques personnes dont une autre collègue. Sa présence était visiblement une bonne surprise pour Véronique qui s'est empressée d'aller la voir.

Je me suis retrouvé à l'extérieur, et au bout de quelques minutes (peut-être beaucoup), je devais commencer à m'impatienter car je suis rentré la chercher. Là, je l'ai retrouvée devant une sorte de chevalet de peintre, mais elle avait un collier de barbe. Oh, pas grand-chose, juste le tour de la bouche, mais quand même.

J'ai du trouver que ça ne lui allait vraiment pas car c'est à ce moment là que je me suis réveillé…

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